Le plus de ce forum en 2022 : une formation en création littéraire éditoriale pour tous et toutes

La formation éditoriale en création littéraire R.C.L., sans nivellement par le bas (résultat de 9 années d’expérience éditoriales, au contenu pédagogique regroupant des essais édités) enrichit l’environnement, égalise les chances et libère le talent par la connaissance des principes narratifs et stylistiques. Elle augmente le sens critique, favorise l’entraide, et ce, sans aucune uniformisation de l’écriture. Elle améliore l'expression écrite en alliant la passion de l’imagination et le calcul de la raison. Cette Formation encourage l'insertion par la culture créative et aide à obtenir l'édition. Cette formation s’adresse à toutes les personnes parlant et écrivant le français couramment, que vous soyez un écrivain en herbe en recherche de structures, ou un expert en Racine voulant encore s’améliorer. Mais surtout — comme le dit Goethe — elle s'adresse à ceux qui ont quelque chose à dire, car « Il faut toujours pour bien écrire, avoir quelque chose à dire. »
Ce F.L.O.T. (Formation en Ligne Ouverte à Tous) sur la création littéraire ambitionne de devenir un objectif global et incite les professeurs à venir augmenter ses ressources.
Pour les 13-25 ans, son objectif est de les valoriser et leur donner confiance en eux via l’écriture et de les aider grâce à l'avis éditorial, acquis par la réalisation de récits ou obtenu par le biais des R.C.L. (Récompenses Crédit littéraire) — uniquement pour les membres des P.O. — ; avec une participation active due à l'entraide.
Le Forum accueille les candidats au Prix littéraire jeunesse des P.O qui incite les jeunes à participer à l’écriture de textes sous la forme de nouvelles ; aux thèmes : Dramatique / Vert-Sociétal / Philosophique ou Sujet Libre. La finalité d’un prix littéraire pour la jeunesse accompagné d’une formation égalisant les chances, réside tout autant dans le but de pousser les écrivains en herbe à la créativité, que dans celui de leur redonner un objectif personnel pour se reprendre en main. La jeunesse est bigarrée, car il existe plusieurs jeunesses et non une seule. Mais toutes les jeunesses se retrouvent dans les mêmes besoins primaires vitaux : manger, avoir un toit, trouver un travail ; mais aussi dans les mêmes aspirations (reconnaissance, recherche de soi, culture, beauté, créativité) qui font que quelqu’un est un être humain à part entière. Apprenons ! Libérons notre créativité ! Elle, elle n’est pas confinée.
Cette Formation se conjugue aussi sous la forme de courts métrages en ligne V.O.D [vidéo à la demande]) à retrouver sur les plateformes telles que : Udemy ou Illith , etc.

  Bonjour, à vous tous et toutes.

  Dans cette période étrange que nous vivons, j’espère que tout va bien pour vous et vos proches.


 
  Je représente l’association Rêve de fantasy (2009...) et la maison d’édition Fantasy-editions.rcl (2013...). Je m’appelle Olivier Lusetti. Directeur littéraire, essayiste sur l’art du récit (4 livres référent à l’université du Havre), romancier (1er roman français sur Sun Tzu), j’organise des prix littéraires (Prix du récit fantasy & jeunesse.), juré (Prix méditerranée polar 2018-2019) et lauréat du Prix P.A.G.E 2018 (Promulguer l’Acte Global d’Écrire) du Festival international de la création littéraire pour mon livre : Comment mieux écrire, raconter une histoire et réussir... ; mon parcours me conduit à la création d’un F.L.O.T [Formation en Ligne Ouverte à Tous] sur la création littéraire éditoriale au contenu pédagogique (regroupant plusieurs ouvrages parus en librairie) accessible à tous. Sans nivellement par le bas, cette formation enrichit l’environnement, égalise les chances et libère le talent par une connaissance des principes narratifs. Elle augmente le sens critique, favorise l’entraide, et ce, sans aucune uniformisation de l’acte d’écrire.
   La finalité de notre Formation réside, à la fois dans le but de pousser les écrivains en herbe et en Racine à la créativité, par l’expression littéraire, sous la forme de l'écriture de récits pour les aider à atteindre l'édition ; que dans celui de redonner aux jeunes (16-25 ans) un objectif personnel pour se reprendre en main. Elle prend ici forme d'un forum interactif (elle se conjugue aussi en livres et en cours en ligne payants (courts métrages en ligne V.O.D [vidéo à la demande]) que vous retrouvez sur les plateformes pédagogiques telles que : Udemy ou Illith Formation) avec la possibilité pour les apprenants de laisser des commentaires à chaque étage, d’échanger sur les réponses données ou de créer leur propre sujet. Son objectif :
 Démocratiser l’acte d’écrire. Pousser les écrivains en herbe en Racine. Pour une jeunesse écrivaine !
La jeunesse est bigarrée, car il existe plusieurs jeunesses et non une seule. La France compte davantage de descendants d’immigrés (7,3 millions de personnes, soit 11 % de la population) que d’immigrés eux-mêmes (5,9 millions, soit moins de 9 % de la population). Les descendants d’immigrés sont issus en majorité d’une poignée de pays européens (Italie, Portugal, Espagne : 29 % du total à eux trois), ainsi que du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie : 31 %) et des anciennes colonies françaises (autres pays d’Afrique, Vietnam, Laos, Cambodge). Mais toutes les jeunesses se retrouvent dans les mêmes besoins primaires vitaux : manger, avoir un toit, trouver un travail ; mais aussi dans les mêmes aspirations (reconnaissance, recherche de soi, culture, beauté, créativité) qui font que quelqu’un est un être humain à part entière.

L'insertion par la Culture Créative.
   


    ATD Quart monde dans « En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté. » écrit :
« Le matériel au sens large ne suffit pas pour redonner de l’élan dans une vie, les gens ne se mettent pas en route pour cela. La difficulté par exemple, que peuvent avoir des personnes en situation de précarité à prendre leur santé en main peut provenir d’une absence de but, d’un manque de finalité dans leur existence (...) de fait, il existe un cloisonnement entre l’action sociale, qui prend en compte les besoins primaires vitaux, et l’action culturelle qui paraît subsidiaire. (...) Nous proposons le cercle des besoins qui comprend : ressource, spiritualité, éducation, travail, culture, santé. »

    L’insertion par la culture créative que nous proposons par cette formation correspond à ce cercle des besoins. Notre Formation sur la création littéraire correspond aussi à l’article 103, de la loi NOTRE (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) d’août 2015 incitant les collectivités à mettre en valeur les « droits culturels » des habitants, qui selon la Déclaration de Fribourg de 2007, sont : « l’ensemble des références culturelles par lesquelles une personne, seule ou en commun, se définit, se constitue, communique et entend être reconnue dans sa dignité. »
   
 Genèse du F.L.O.T : Genèse : Lors du 1er confinement national (mars-mai 2020), j’ai commencé mon travail sur cette réalisation. J’ai voulu profiter de ce temps (librairies fermées, etc.) pour donner vie à ce projet porté en moi depuis mes interventions en fin d’année dans différents lycées (2017-2019) et qui m’ont permis d’amener à l’édition, une jeunesse, créatrice, stupéfiante et enthousiasmante.
Avec l’actualité incertaine due à la Covid-19 amenant la distanciation sociale et la difficulté d’organiser des formations présentielles ; j’ai pensé à la transmédialité d’une formation éditoriale (La transmédialité fait référence à la capacité d’un contenu médiatique à évoluer en fonction du média utilisé pour le consommer) avec des F.L.O.T.s Formations en ligne Ouvertes à Tous pour démocratiser l’acte d’écrire. Le projet citoyen Poussons les écrivains en herbe et en racine. Pour une jeunesse écrivaine, est né. Si le cadre est fixé, il nous reste ensemble à en peindre le tableau, Vous, moi, les conteurs (ses), les auteurs (es), les écrivains (es), les lycéens (nes) et les professeurs (es) ; car cette formation éditoriale est conçue pour appartenir à tous et toutes. Elle est lieu du vivant et du mouvement. Il dépend de Vous pour faire que ce lieu d’éducation populaire prenne pleinement vie et le grand large et emporte le plus grand nombre dans « l’expression et la consolidation de son propre savoir et de sa propre expression de pensée », pour citer Wresinski.
Comme l’écrit le psychanalyste Roland Gori, « la capacité de pensée est subordonnée à la parole. » Ce F.L.O.T, qui (au moment où j’écris ces lignes) n’a nulle part son pareil pourrait devenir la première formation éditoriale sur la création littéraire du département, de l’Occitanie, mais aussi de France. Il pourrait contribuer à cette part essentielle de l’être humain qui peut « remettre en route » une vie.
 La nourriture matérielle est essentielle à notre survie, mais la culture — nourriture spirituelle —, elle seule, nous donne la Vie.


Je pense, sans doute comme Vous qui me lisez, nécessaire la multiplication les lieux d’éducation populaire permettant la rencontre, l’expression et la création par tous ; encore plus, quand des moments difficiles sont traversés, ou à venir (tsunami économique de la Covid-19 ou son rebond) ; car ils permettent d’arrêter le « je surconsomme donc je suis » ; pour se tourner vers un : « je pense, donc je crée. »

 D’aucuns pensent qu’une formation éditoriale sur la création littéraire est chose ardue à mettre en place, il est vrai ; et forcément élitiste, il n’en est rien.
  En France, la question du bien-fondé d’une formation sur la création littéraire est encore légitime et fait toujours débat. Trois réponses (avec un bel écart dans le temps) vont dans le sens du nécessaire apprentissage de l’art du récit —, et ce, sans souligner cette évidence avec la multitude de formations diplômantes et universitaires dites « Créative Writing » des Anglo-saxons (mais il n’y a pas qu’eux) ; appuyée par mes 7 années de directeur littéraire — me viennent immédiatement à l’esprit. Les voici :



J'espère avoir obtenu une écoute sensible
Bonne santé à tous et toutes.

Olivier Lusetti.

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(Article année 2016)

Que votre cœur vous pousse vers l’aventure ou l’originalité du monde créé du conteur (la fiction), ou vers une intrigue corsée d’auteur (la narration), ou encore vers le travail considérable sur la langue de l’écrivain (la mise en texte) ; que vous choisissiez l’un ou l’autre, ou plutôt l’un que l’autre ou les trois à la fois (car ces trois états s’interpénètrent dans une réalité textuelle), vous savez que l’apprentissage inconscient des règles reste un gigantesque pari sur votre talent. Même si vous vous sentez l’âme d’un Mozart, préférez tout comme lui l’association des aptitudes exceptionnelles aux formations techniques. Car connaître les principes fondamentaux (stylistiques et narratifs) permettra toujours de canaliser la spontanéité flamboyante du feu d’artifice créatif. Mozart eut les formations techniques de son père, ayez celles de ces guides d’écriture qui, lorsqu’ils sont bien faits, triomphent à devenir votre partenaire d’écriture, ou, devrais-je déjà dire, de réécriture.
« En rassemblant les plus beaux chefs-d’œuvre produits à travers les âges, on peut découvrir l’élément qui leur est commun. Cet élément commun sera la loi. (…) Si cet élément leur était retiré, elles perdraient leur charme et leur valeur. »
(Anton Tchekov, Correspondance. Cité par Yves Lavandier dans la Dramaturgie p 19 et 21.)

 Ces règles une fois connues et maîtrisées dans votre pratique artistique pourraient (pourquoi pas) être mises de côté, pour, peut-être, en élaborer de nouvelles ; car rien de pire que le conservatisme à tout crin, ou la recherche de rupture à tout prix.
 Quant à ceux qui pensent que suivre les mêmes principes sclérose la pensée, — alors que nous avons plus en commun avec autrui par notre appartenance à la même espèce que nous avons de différences par notre singularité d’individu —, rappelons leurs ces paroles de cet essayiste et historien de l’art :

 « S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille. »
(Erwin Panofsky, L’œuvre d’art et ses significations.), ou vieux garçon.

  Quant aux débats sur l’utilité d’une règle ou le manque d’une définition, préférez à ces querelles de clochers vos démêlés avec le fil de votre histoire, pour trouver comment faire sonner vos mots et accéder à cette manière de D.I.R.E pour, le plus largement possible :