Rêve de Fantasy
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Association et forum Francophone créés le 8 avril 2009 avec Comité de Lecture. Ici, les terres de l’imaginaire sont foulées par des écrivains en herbe et en Racine ! Ici, la langue française parle le fantastique et le PRIX LITTÉRAIRE POPULAIRE JEUNESSE...
 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

 

 Court texte écrit avec des mots imposés

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Orcalian
Petite Plume
Petite Plume



Messages : 5
Date d'inscription : 17/08/2017

Court texte écrit avec des mots imposés Empty
MessageSujet: Court texte écrit avec des mots imposés   Court texte écrit avec des mots imposés Icon_minitimeMar 22 Aoû 2017 - 23:37

Voila je voulais partagé ces petites créations, la dernière n'étant pas fini

Les trois ninjas, le scientifique et le robot

   Dans la nuit sombre se tenait la grande battisse. Le silence, le calme seulement troublé par des frottement léger. Le bruit du tissu noir, qui enveloppait les trois ombres qui se faufilait sur le toit. Aucune discussion n’était utile aux ombres et néanmoins elle agissait de concert comme après échange verbale minutieux. C’était là le secret des ninjas, ces assassins de l’obscurité entraîné depuis leur naissance. Il leur suffisait d’un signe et tous comprenait ce qu’il devait faire.
  Et les voila que sans un bruit, ils ouvrirent l’unique fenêtre du toit pour ce glisser dans le grenier. Et quel étrange grenier, plein de fiole, d’étagère rempli de grimoire et d’ingrédient bizarre. Au centre de la pièce un gros chaudron sur un foyer entouré d’un obscure cercle magique tracé à même le sol. Le seul rayon de lune éclairait suffisamment pour les trois ombres, ce qui leur permit de voir ce qu’il était venu chercher dans le fond de la pièce.  Sur une table éloigné du reste se trouvait le corps désarticulé d’une poule, la poitrine ouverte et le cœur reposant dans un bocal à côté. Ils eurent un moment d’hésitation, ils n’avait que peu l’habitude d’être employé pour ce genre travail. Ils prirent quand même le bocal et tournèrent les talons lorsque la lumière éclata dans le grenier .
   Trois grosses lampes s’étaient allumé au plafond, leurs cœurs s’accéléra en comprenant qu’ils étaient repérés. Au moment ou leurs regards se posaient sur la fenêtre, un lourd rideau de métal tomba en claquant. Une étagère se tourna à la manière d’une porte pour révéler un homme en blouse blanche, ses cheveux se dressait en deux touffes grisonnante qui formait un M sur son crane. Il avait des lunettes dont les verres teinté de violet tranchait avec le blanc de sa blouse. Tandis qu’il avançait ils se rendirent compte que l’homme embaumait un parfum d’orange écœurant tellement il était puissant. Les trois hommes restait immobiles comme des statues préférant savoir à quoi s’attendre avant de tenter quoique ce soit. L’homme s’immobilisa à deux mètres des ninjas. Tandis qu’ils se regardaient tous en chien de faïence, un bruit de pas lourd résonna dans le dos du scientifique. Il émanait de la porte déguisé en étagère. Il se fit de plus en plus lourd, jusqu’à ce qu’émerge de la dite porte un robot, massif tout en chrome et en fer, avec deux diode rouge à la place des yeux.

Voyage astral

   L’équipage était prêt. Cela faisait une semaine entière qu’il préparait ce voyage. En fait beaucoup plus si on comptait les multiples entraînements, le matériel, les connaissance accumulées uniquement pour en arriver à ce moment. La tension était palpable car personnes n’avait jamais tenté pareil expérience à leur connaissance, mais malgré ou peut être à cause de çà tout le monde gardait le silence. Tout le monde savait ce qu’il risquait, si bien que certain avait prévenu leur proche. Pas directement bien sur, mais quand même.
   Et tous attendait avec impatience minuit, car c’est à cette heure que débuterait leur voyage. Et des cinq personnes présentes dans la pièce, Laurent était sûrement le plus impatient. Car il avait été bien plus loin que quiconque. Il avait déjà vu ses paysages lunaires et ressenti ce grand vide. Il s’efforça néanmoins de garder tout son calme. Voyant minuit moins cinq il fit signe à tout le monde de se rapprocher du centre de la pièce, autour d’une petite table où trônait une boite en métal. En ouvrant la boite il jeta un coup d’œil mécaniquement au cinq capsule disposé en cercle autour d’eux. Puis il revint à la boite ouverte dans laquelle se trouvait cinq seringue. Tous tendirent leur bras, Laurent pris une à une les seringues correspondant aux personnes pour leur administrer le mélange. Quant il arriva à la sienne, il put voir que tout les autres avait déjà rejoint leur capsule et l’avait ouverte pour s’y glisser. Il jeta un coup d’œil à l’heure, minuit. Il ne pouvait plus hésiter, il s’enfonça l’aiguille dans le bras et s’injecta le mélange. En regagnant sa capsule et en l’ouvrant il sentit déjà les effets du mélange. La lumière était plus vive, l’odeur du produit de nettoyage titillait ses narines, le bruit de la capsule était insistant. Et tandis qu’il se glissait dans la capsule, rencontrant l’eau à 37 degré il se délecta de du bien-être qui l’envahissait et il se rendit compte que ses jambes était déjà devenu un peu cotonneuse. Une fois allongé, il sentit la force de l’eau saturé en sel le repoussé agréablement à la surface. Il put commencer à flotter dans son corps aussi bien que dans ses pensées, et il se sentit dériver tandis que la capsule se fermait automatiquement. Il ne put pas discerner avec certitude le moment où il tomba inconscient. En fait il lui sembla ne jamais s’endormir. Une fois la capsule fermé, il ne vit ni n’entendit plus rien. Et si au début il se sentit flotter dans l’eau, très vite cela laissa place à une sensation mixte. Il sentait qu’il flottait mais plus dans l’eau. Puis il sentit des picotement dans tout son corps et enfin plus rien. Plus de corps et en même temps il lui semblait être réveillé et avoir conscience de son corps. Mais ce n’était pas celui dont il avait l’habitude. Comme si son corps était incroyablement léger et fluide comme de l’eau, non comme de l’air, non mais plus léger et plus fluide encore.

La carte de l'imaginaire

   Un avoir pour un Atlas. Oui je n’avais que 50 euros et le vieux gêné m’avait proposé ça. Çà faisait  20 euros d’avoir, mais c’était mieux que de les perdre après tout. Et puis cet atlas m’avait tapé dans l’œil, au point que j’étais prêt à tout pour l’avoir. C’était un Atlas, mais pas de notre monde. L’artiste avait représenté là tout un monde imaginaire avec une foule de détail minutieux alors comment ne pas tombé amoureux d’une telle œuvre d’art. Je l’avais trouvé par hasard en me baladant dans une vieille boutique d’antiquité. Ce genre de boutique où s’entassent toute sorte de vieillerie, et c’est en explorant ce monde de pacotille que je l’avais trouvé mon atlas.
   D’ailleurs j’avais voulu y retourner récemment, mais je n’avais jamais retrouvé le chemin menant à la boutique du vieux. J’avais cru qu’elle avait fermé entre temps, alors j’avais abandonné l’idée. Et puis j’avais retrouvé ce fameux avoir, et j’avais été surpris par l’adresse indiqué. C’était bien la ville mais pas le même endroit. Avais-je complètement perdu la tête, j’étais persuadé de pouvoir la retrouvé à l’instinct mais visiblement, celui-ci m’avais royalement perdu.
Bon voila j'ai décidé d'en remettre d'autres au gré de ce que j'écris.
Désolé aussi pour les fautes d’orthographes et autres qui doivent êtres légions.

Amanda

 Amanda était une ténor dans son art, et tout le monde se l’arrachait. Ce qui l’avait déjà rencontré une fois la suppliait pour une autre et ceux qui n’avait pas encore eu cette chance faisait la queue. Pourtant ça n’avait pas toujours été ainsi. Avec ses taches de rousseur et ses cheveux couleur de feu, Amanda avait souvent été la cible de toute les moqueries. Pire avant d’être connu par delà la France, Elle avait été une adolescente mal dans sa peau, timide se cachant toujours et n’intéressant personne.
 Comme la vie pouvait être ironique pensa-t-elle en pressant l’infusion pour en obtenir le maximum d’effet. Maintenant dans son petit appartement elle était sûrement une des femmes les plus riche, pourtant elle continuait son métier que tous percevait comme le plus dégradant. Elle avait bien géré, elle avait investi chaque centime gagné et maintenant elle n’avait plus besoin. Maintenant c’était juste une revanche personnelle sur son ancienne vie.
 Elle commença à chanter tout en se peignant face à son miroir, elle en profitait de voir sa mine radieuse, un visage qui faisait tourner la tête de centaine de prétendant. Ces cheveux rouge répondait à de magnifique yeux vert émeraude. Elle s’arrêta un court instant pour boire une gorgée de son infusion puis reprit son activité en chantant. Elle était de très bonne humeur, d’autant plus qu’elle s’apprêtait à recevoir la visite d’une ancienne connaissance. Elle se rappelait en même temps leur première rencontre, sur les bords de seine. Ils avait marché longtemps, il était stressé et cela se ressentait dans ses gestes, dans sa voix et dans son obsession de parler de tout sauf de ce pourquoi il se voyait.
 Et puis ils était rentré à sa demande prétextant avoir trop froid, ils s’était pris une infusion. En la préparant elle en avait profité pour monté le chauffage. Cela n’avait pas loupé, il avait dû enlevé son manteau, et puis sa veste. Elle, elle s’était dévêtu plus que jamais mettant bien en vue son décolleté. Il avait jeté un coup d’œil et déglutit visiblement mal à l’aise. Elle avait souri tout en feignant de se tourner. Les hommes, peu résiste à un appel direct. Après quelques échanges anodins elle avait réussi à placer quelques propos salaces sous forme d’humour. Il avait déglutit de nouveau. Elle s’était rapproché, avait posé sa main sur son genou et l’avait trouvé très stressé. Elle lui avait proposé un massage et de fil en aiguille ils s’étaient retrouvé à faire l’amour. La première fois qu’il était rentré en elle, il était encore mou elle avait du jouer du poignet pour obtenir une vrai érection. Puis le reste avait été tout seul, elle s’était lâché, lui aussi et s’était affalé l’un contre l’autre comme des amants. Oui, mais l’heure tournait elle avait encore une fois lutté pour lui faire comprendre qu’il était l’heure qu’il parte. Il avait été fâché, du coup elle avait accepté avec une petite moue de le laisser réessayer. Il avait adoré et s’était montrer beaucoup plus content, et puis il avait compris qu’il devait partir. Sur le moment elle avait presque eu envie de le retenir, mais elle savait que c’était impossible. Pourtant il lui plaisait, avec on air coincé. Mais elle l’avait laissé filé, laissant sur la table de chevet une petite liasse de billet. Juste le prix convenu, elle s’en était voulu et puis il était revenu comme un client fidèle, un peu comme un ami.

Battle of Valhalla

 Demain c’est sur il arrêterait. Enfin si il survivait à aujourd’hui. Parce qu’aujourd’hui il était dans le pétrin, caché derrière un muret, assis, le cerveau tournant à mille à l’heure pendant que le bruit des armes résonnait. Il tirait tous sur lui, pauvre petit mage. Bon d’accord il passait pour le cerveau de la bande mais là il devait avouer que son cortex était à vide.
 Il avait une stratégie bien rodé pourtant, mais dès le débuts ses adversaires avait trouvé la faille. Résultat Darcy le tank était morte, Magie la soigneuse était prisonnière et régénérait ses ennemis, Karl le rôdeur était en fuite et Jaari était retourné dans sa dimension mystique. Il jeta un œil au muret derrière lui presque plus de point de vie. Il courut, plié en deux pour offrir le moins de surface de tir. Cette brève course sembla durer une éternité et quand il arriva derrière un nouveau muret, il haletait son cerveau tournait toujours à mille à l’heure et pas l’ombre d’un plan. Mais cela lui semblait suspect, parmi les cinq adversaire ils avaient tous choisit le même avatar, un polyvalent mais en faisant ça ils se privaient de talent tel que le soigneur. Ce qui voulait dire qu’il avait déjà prévu cette tactique. Anto se découvrit une certaine affection pour ces concurrents ils étaient beaucoup moins bête qu’il ne l’aurait cru. Après tout ils n’avaient fait qu’exploité la liberté du programme et la tourné à leur avantage.
 Et lui qui pensait que les éliminatoire serait sans aucune surprise. Il s’était joint à son ancienne équipe parce qu’il avait besoin de sous, eux avait trouvé des sponsors. Avec ses stratégies exploitant les multiples libertés du nouveau Battle of Valhalla ils avaient toujours réussi à gagner les saisons haut la main. Mais visiblement d’autres commençaient à avoir autant d’imagination que lui. Mécaniquement il jeta un œil au muret dont la barre de vie descendait dangereusement. Jaari n’allait pas tarder à revenir au point de rendez-vous mais elle ne trouverait personne.
 Le plus important restait de sauver Magie.

Description d'une araignée

Je la vis. Dans l’obscurité deux grappes d’yeux jaune orangé me fixait avec avidité. Et tout d’un coup un bruit sec répété deux fois comme une paire de ciseaux se fermant brutalement. Alors que la chose avançait je vis sa tête apparaître aussi grosse que la mienne et armée de mandibule qui faisait leur horrible bruit. Mais je ne pris conscience de l’horreur de la vision que lorsque l’araignée s’extirpa du trou à l’aide ses huit pattes et quelle se glissa près de moi révélant son immense abdomen velu. La créature faisait ma taille en hauteur mais sûrement bien plus en largeur et en longueur et elle était d’un noir de jais la rendant encore plus horrible.


La cité

Un hochet voila comment tout avait commencé pour Jake. Un hochet c’est tout ce qu’il restait, c’est tout ce qu’il restait du petit Marcel. C’est tout ce qu’il restait aussi à sa mère, effondré, pleurant toutes les larmes de son corps. Elle agitait le petit objet sous le nez de Jake dans son petit bureau éclairé par le crépuscule.
 Jake était mal à l’aise n’osant pas montrer son intérêt pour le paiement alors que la mère voyait déjà son fils gisant dans une des ruelles de la Cité. Jake lui avait promis qu’il en occuperait, il avait demandé les infos nécessaire et maintenant il peinait à expliquer à la pauvre femme qu’il devait y aller. Après de longues tractations il réussit à fermer la porte. Il était de nouveau seul dans le bureau,  il pouvait de nouveau penser mais avant il alluma une cigarette.
 Il récapitula pour lui même, la femme était pauvre, peu de vie social, le père du gosse était inconnu. Ça laissait pas beaucoup de suspect. La seule chose pour l’instant c’était la nounou, une Tongue, enfin quand on vit dans une ville de Tongue ça semble normal. Mais ça donnait une approche au moins, et son approche s’appelait Shen.
 Jake prit son imper, y glissa son paquet de clope et le mit sur le dos. Il récupéra son chapeau, releva son col, mit les main dans les poche et sortit. Dans les rues froide de la cité, il marchait remontant la grande avenue, esquivant les passants. Il se dirigeait machinalement vers La boutique du vieux Shen. Le vieux tenait officiellement un centre d’acupuncture et une boutique de remède traditionnelle. Mais le vieux renard avait d’autres corde à son arc. Sous son air affable, ses petites lunettes et ses longues moustaches, le vieil asiatique hébergeait la plaque tournante des affaires touchants aux trafics d’êtres humains. Sous les gouttes glacées tombant du ciel, Jake se rappelait sa première rencontre avec celui qu’il surnommait affectueusement la vieille mangouste. Il avait apprit dans la rue le penchant du vieil homme pour les produits dérivés des humains et était partis faire un tour dans sa boutique. Après les traditionnelles langues de serpents et yeux de tritons le vieux lui avait proposé des choses un peu plus ragoutante. En fait il promettait de pouvoir lui avoir tout les partie de n’importe quel être humain vivant dans la cité. Enfin de compte, cette fois ci Shen n’avait rien à voir mais plusieurs fois il avait du négocier fermement quand Shen était dans le coup. Il sourit en repensant à toute ces anecdotes qu’il pourrait balancer sur Shen. Jake sortit de sa rêverie pile quand il arrivait devant le boutique du vieux.
 Quand il poussa  la porte de la boutique, il était totalement trempé, et de mauvaise humeur. Après les rêveries des histoires passées, revenir à la réalité du kidnapping du petit Marcel faisait l’effet d’une douche froide. Il salua le vieux renard, celui-ci lui souriait de toutes ses dents. Il le salua pour la forme, mais ne lui laissa pas le temps de répondre avant d’enchaîner, l’accusant sans préciser son accusation, lui disant qu’il savait pour la nourrice mais qu’il voulait savoir pourquoi . L’asiatique, ne perdit pas son sourire, lui retournant son salut, il prit même le temps de continuer en lui demandant comment il allait. Jake était d’une sale humeur et ne souhaitait pas jouer à ce jeu pour une fois il souciais trop de la survie du gamin. Allez, dit-il en s’impatientant,tu sais bien le petit Marcel. Shen fit la moue, levant les mains en l’air. Il ne savait rien il le jurait, de toute façon il était sur un autre coup beaucoup plus gros.

Le scientifique et le golem vert

La cité était illuminé de mille feux dans la nuit noire. Et en son centre se tenait la dame de fer. Pointant vers l’infini de cosmos étoilé, la tour de l’ingénieur dominait la cité de toute sa hauteur. Ses concepteurs avait librement plagié la tour Eiffel, et l’atmosphère dans les petites rues pavées de la capitale s’en ressentait. On disait de la ville qu’il n’y avait pas meilleur endroit pour trouver un scientifique prêt à accomplir des merveilles. Et dans ce domaine la ville avait trouvé son ténor, il marchait dans la nuit, ses botte claquait sur le pavé habillé de sa blouse de travail et de ses gants le tout d’un blanc cassé. Comme sa barbichette et ses cheveux hirsutes qui formait un M sur son crane. Finalement la seule chose qui tranchait c’était ses lunettes teinté de violet derrière lesquelles ses yeux exprimaient une intense satisfaction. Il s’arrêta sous un lampadaire dans la rue déserte. Et il avait raison d’être satisfait, car il avait créer quelque choses d’inimaginable.
   Ho oui tu es beau, lança t-il à sa création. Pour seul réponse il eut le droit à un grognement venant d’une ruelle qui croisait la rue ou il se trouvait juste après le lampadaire. L’ombre que projetait le coin du mur empêchait de voir ce qui se trouvait dans la ruelle.
   Le scientifique se retourna, quand il entendit un bruit de verre brisé derrière lui, trois homme venait d’apparaître à une dizaine de mètre, ils sourirent d’un air mauvais. Hé le scientifique, aboya  le plus petit, viens ici. L’homme en blanc sourit, pourquoi ? Après tout, vous me suivez depuis si longtemps pourquoi ne pas continuer encore un peu, dit-il d’un ton amusé. Les trois hommes en noirs n’en attendaient pas plus pour foncer sur le scientifique, criant, jurant lui promettant de ne rien lui laisser pas même la vie.
   Quand ils arrivèrent à l‘intersection des deux rues, un bras massif, musclé et vert sortit de l’ombre et attrapa un des voleur à la gorge. Les deux autres esquivèrent l’attaque en sautant en arrière. Ils pouvaient maintenant sentir une odeur désagréable, un parfum si concentré en orange qui leur donnait envie de vomir. Le scientifique avait perdu son air affable, son sourire était devenu carnassier. Il fit un pas et l’odeur d’orange s’intensifia encore. Alors que le mécréant tenu à la gorge se débattait, la créature qui le tenait sortit de l’ombre. Les deux voleurs firent un pas en arrière en le voyant. La créature était une parodie d’humain nu, le crane chauve, la mâchoire carré à l’exagération. Les yeux était jaunes fauve il surpassait bien de deux tête le plus grand des voleurs. Mais le plus impressionnant restait sa carrure qui le faisait ressemblé à un antique golem eunuque.
La voix du scientifique claqua quand il ordonna au golem de casser la nuque du voleur, qui s’exécuta de suite. Quand les deux survivant tournèrent les talons pour s’enfuir, le scientifique  remonta ses lunettes du majeur et lui demanda de les attraper et de les tuer de la même façon. A ce moment le golem effectua un bond puissant qui le projeta juste derrière les fuyard, qu’il attrapa par le cou. Tandis qu’il les levait en l’air ils se débattait, pleurant, implorant toute les divinité de la cité de les sauver. Mais rien n’empêcha le géant de leur casser le cou, puis de repartir vers son maître en les laissant tomber comme de vulgaire poupées de chiffon. Et ensemble, maître et esclave disparurent dans la ruelle sombre.
Revenir en haut Aller en bas
Marie-Josée
Griffonneur(se) débutant(e)
Griffonneur(se) débutant(e)
Marie-Josée


Messages : 63
Date d'inscription : 22/10/2017

Court texte écrit avec des mots imposés Empty
MessageSujet: Re: Court texte écrit avec des mots imposés   Court texte écrit avec des mots imposés Icon_minitimeLun 30 Oct 2017 - 13:01

Wow ça c'est de la pure science-fiction et l'écume s'écoulant de ma bouche fait contraste de prospérité à l'espace libre de ma cervelle évidée de toute idée pour écrire, quelle prose, je n'aurais put imaginé de telles histoires :mimi:
Revenir en haut Aller en bas
 
Court texte écrit avec des mots imposés
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Rêve de Fantasy :: Espace de liberté-
Sauter vers: